† Destiny Of Naruto †
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Medar X'aelis

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Message par Invité Sam 14 Mar - 13:48

Nom : X’aelis
Prénom : Medar
Âge : Inconnu, aux alentours de 17 ou 21 ans

Village souhaité : Suna
Affinité(s) souhaitée(s) : Raiton

Description Physique :

Medar est un homme d’une vingtaine d’année, à la silhouette élancée mais toutefois non dénuée de muscles. Il est plutôt de grande taille, atteignant le mètre quatre-vingt huit, et des mouvements rapides. Ses cheveux sont d’un blond intense, avec quelques mèches noires. Il aime à les laissés libres à l’avant, tout en tissant une longue tresse sur l’arrière de sa tête, qui lui arrive loin dans le dos, et au bout de la quelle reposes une lame entouré d’une gaine protectrice. Même si il lui a fallu du temps pour s’y habitué, elle constitue finalement une arme mortelle, ou tout du moins dangereuse si il n’a pas le temps d’enlever la protection, sans la quelle il se couperait fatalement à un moment ou à un autre entre les combats. Ses yeux sont fins, et son regard jaune cherche toujours une faille dans la garde de ses adversaires, guettant la moindre faiblesse.

Tous ses traits sont d’ailleurs fins, jusqu’à son sourire, un sourire souvent cruel, révélant une dentition impeccable, et son nez à l’odorat affûté. Son coup, plutôt long du reste, est protégé par le cuir sombre de sa tenue de combat. Celle-ci laisse ses épaules nues, mais descend sur le reste de son buste. Elle s’attache de chaque coté de son torse par un compliqué entrelacs de boucles d’aciers et de lacets de cuirs, mais peut aussi être enfilée plus simplement. Elle est décorée d’une figure en fils d’argent, représentant une fleur rare, sans que lui-même sache pourquoi. Ses bras, eux, disposent d’autres protections, qui englobent ses mains avant de remontées jusqu’à son coude, où elles sont retenues par des bracelets de cuirs. D’autres bracelets, de cuir où de métal, ornent eux aussi ses bras, surtout au niveau du poignet, mais aussi plus haut. Aux mains, il porte quelques bagues diverses.

Sur ses mains, il peut aussi enfilé des gants dotés de griffes d’acier au dessus des doigts... Pour se qui est du bas de son corps, il porte un pantalon moulant de cuir, le tout caché par un long tissus qui est attaché à sa ceinture et descend jusqu’à ses pieds, le tout en noir. Pour finir, il a aussi des chaussures de combat comme de marches, encore une fois de cuir renforcé d’acier. Finir, ais je dit ? Non ! Car il reste encore se qui est peut être le plus important : ses armes ! Celles-ci sont deux épées, Oropt et Réhéa, à la poignée d’os sculptée et aux impressionnantes lames larges, qui dépassent sur l’avant, un peu à la manière d’un hachoir. Sur la partie arrière, de compliqués motifs sont gravés, formant une lettre, seul moyen de les différenciés. L’une s’orne d’un « O », l’autre d’un « R ». Elles reposent à sa ceinture de cuir, dans deux fourreaux eux aussi d’ivoire.

Description Moral :

Medar est un solitaire par nature... La vie ne lui a pas fait de cadeau, et il ne lui a jamais demandé de le faire. Il aime la difficulté, et déteste avoir quelque chose trop facilement. De fait, combattre quelqu’un de faible par rapport à lui l’ennuie franchement, et il a dans ses cas là tendance à finir rapidement le combat, quand il n’abandonne pas purement et simplement pour ne pas perdre son temps. Dans un sens, on peut dire qu’il est fou... Il ne craint ni la mort, ni la douleur. Pour lui, cette vie est juste un immense défi, et si il y a une chose qu’il aime, c’est bien les défis. Il est toujours en quête d’adversaire plus puissant que lui, ou bien d’une façon d’augmenter encore et encore son propre pouvoir. Il a depuis longtemps apprivoisé la douleur. C’est là l’une des rares choses qu’il a toujours réussi à faire. Beaucoup l’ignore, la repousse, lui y prend plaisir, l’accepte, en fait une nouvelle force.

D’une nature assez loyale, il ira toujours au bout d’un engagement. Par contre, une fois celui-ci remplis, rien ne garanti qu’il ne plantera pas sa lame dans le dos de celui avec qui il s’était engagé. Son esprit est froid, glacé, et il ne trouve de la joie, si on peut appelé cela ainsi, que dans des choses que les autres évites : dans l’adversité, dans la douleur, et quand il frôle la mort. Il est capable d’éprouver une affection un peu bourrue pour certains, mais pas pour d’autres, sans qu’il soit vraiment possible d’établir la moindre constance. Quand il eu acquit des mots, ils les utilisa pour nommer cela : c’est l’esprit de la Meute. Protège mes arrières, je protégerais les tiens... C’est aussi cet « esprit » qui le guide dans à peu près tout ce qu’il fait, même si il forme seul sa meute. Il est peut être prêt à l’agrandir. En attendant, il incluse dans cet esprit sa soif de combat, ou ce qui le retient parfois...

D’une certaine façon, on pourrait le dire en quête d’un chef de meute... De celui, ou celle, qui saura le soumettre et se les attachés. Si jamais il trouvait une telle personne, il lui serait farouchement loyal, jusqu’à la mort. Mais pour accomplir cet exploit, il faudrait plus que la force brute... En effet, battre Medar ne fait qu’exacerbé son esprit combatif : il y a toute les chances que celui qui le ferais le retrouve un jour ou l’autre sur sa route, près pour sa revanche. Il a regarder la mort en face trop de fois pour encore avoir peur... Il est à préciser que si il a un certain sens de la loyauté, il ne faut pas confondre cela avec de « l’honneur »... Il n’aura jamais le moindre scrupule à attaquer dans le dos ou à tuer un ennemi affaiblit, voir même à terre... Les seules choses pour les quelles il a un certain attachement, pour l’instant tout du moins, se sont ses deux lames, qu’il considère comme faisant partie de lui, ses crocs, ces griffes, pour broyer et déchirer.

Celles-ci sont, selon son ancien maître après la mort du quel il les a récupérer, Oropt et Réhéa. Lui-même les surnomme « Croc Acéré » et « Rayon de Lune » ...

Histoire :

Généralement, on commence par la naissance... Seulement, ici, il n’y en a pas de trace. Oh, certes, il y a bien dû en avoir une, personne ne naît du Néant, après tout, et certaine chose, comme son goût de la douleur, doivent bien venir de quelque part. Le seul problème, c’est qu’il ne s’en souvient pas, et n’en a aucune trace. Rien. Pas un souvenir floue, pas une impression de déjà vu... du moins pas jusqu’ici. Il n’a jamais rien trouvé qui puisse l’aider à se souvenir de se qu’il avait été, de ce qu’il avait fait. Pas de naissance... Pas d’enfance non plus, d’ailleurs. Aucun souvenir ni de son père, ni de sa mère, rien de rien. Peut être est ce pour cela qu’il est si perturber, après tout : il n’a jamais eu aucune base solide sur la quelle se construire une santé mentale, même si son maître à voulu lui en donner une... Toutefois, nous n’en sommes pas encore là...

Commençons donc par le commencement... enfin, façon de parler. Le premier souvenir de Medar, c’est une nuit. La nuit, les étoiles, le croissant de lune, et la lande, autours de lui. Ca, et l’arbre solitaire dans son dos... Oh, et puis le froid, bien sûr. Il pouvait avoir onze ou douze ans, peut être treize, mais pas plus. Difficile à dire, puisqu’il est impossible de déterminer si il était grand ou petit pour son âge. Mais ce n’est pas si important. A l’époque, il avait les cheveux tout emmêlés, était seulement vêtu de haillons et se sentait incroyablement faible. Ce fut le froid qui fini par lui faire ouvrir ses yeux d’un jaune inquiétant pour regarder. Il voyait, bien sûr, mais il n’avait pas de mot pour décrire se qu’il voyait, même dans le secret de son esprit. Même les mots, il les avait oublié, mais il ne savait pas qu’il avait oublié. N’eut été se fichu froid, il serait resté là. Mais celui-ci le poussa encore à bouger.

Il avança, vers où il n’aurait su de dire. D’abord à quatre pattes, puis en rampant. Il avança jusqu’à ce qu’il n’eut plus la moindre force, jusqu'à ce que même l’air glacer n’eu plus peu le faire avancé, puis il s’effondra. Le froid lui semblait normal, à cette époque là. Même les rayons du soleil qui le réveillèrent de nouveau ne parvirent pas à le chasser, et il avança encore. Finalement, il croisa un buisson. Il y avait là des choses rouges, qui sentaient bon pour son estomac affamé. Des baies, tout simplement, mais il les accueillit alors comme une manne divine. Il s’en gava jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus, puis il s’effondra de nouveau... Pour se faire réveiller par la monté du froid à la tombé de la nuit... Et pour avancé encore, encore et toujours, souvent en rampant, plus rarement en se soulevant sur ses mains et ses genoux. Pas une fois l’idée de se tenir debout ne lui vint.

Combien de jours, combien de nuit d’hiver passa il ainsi ? Impossible de le savoir. Il se nourrissait du peu qu’il pouvait trouvé, plantes, petits animaux morts. A vrai dire, il est quasiment miraculeux qu’il ne soit pas mort empoisonné par l’une de ces choses. Mais il ne reprenait pas vraiment de force. L’instinct sourd qui le poussait à avancer ne lui en laissait pas le temps... Il fini par arriver à une forêt. Quelle forêt ? Bonne question... Et là, il rencontra une autre forme de vie... Une forme de vie affaiblie. Un loup, mais comment aurait il pu savoir ce qu’était un loup ? La créature était comme lui : faible. Ou plutôt affaiblie. Il avait été fort, autrefois, il avait été jeune. Il ne l’était plus. Vieux, il avait été rejeté par sa horde, par sa famille, par les siens. Mais lui, il avait des souvenirs, n’était il pas, le plus chanceux des deux ? Question de perspective.

Tous deux étaient trop faibles pour se battre. Ils s’allièrent, sans bien savoir comment. Ils avancèrent ensemble, l’un soutenant l’autre. Encore bien des jours ils errèrent ensemble. Ils sortirent de la forêt, trouvèrent une autre plaine. Et il faisait de plus en plus chaud... Le froid partait ! Alors qu’il avait toujours été là, dans l’esprit du jeune garçon, le voilà qui disparaissait... Malheureusement, il y avait aussi moins de nourriture au fur et à mesure qu’ils avançaient... Ils mangèrent moins, tous les deux... L’un se privait pour l’autre. Et ils continuèrent ainsi, car c’était pour eux l’Esprit de la Meute, bien qu’ils ne puissent y mettre un nom, l’un et l’autre n’aillant pas de mots... Que sait donc une bête des mots ? Jusqu’à ce qu’il meurt. Lui, le loup. Un jour il ne se réveilla pas, et l’enfant dévora une partie de son corps avant de se remettre à avancer.

Le paysage changea encore. La plaine cèda peu à peu la place au Désert, mais comment aurait il pu le comprendre ? Il avançait toujours, tout simplement. Et puis, enfin, il rencontra un homme. Un ermite, qui vivait seul, à l’orée de la vaste étendue de sable. L’étranger voulu lui parler, mais comment parler à quelqu’un qui ne connaît aucun mot ? Il voulu communiquer avec des signes, mais quels signes faire à quelqu’un qui n’a aucun souvenir, si ce n’est le ciel, la lande et la forêt ? A quelqu’un qui ne connaît que le Chaud et le Froid, le Clair et le Sombre, mais qui ne peut même pas les nommés ? Finalement, il le maîtrisa, et il le porta jusqu’à sa petite cabane. Une cabane toute simple, plutôt vétuste pour tout vous dire, toute simple. Mais il y était à l’abri de la nature, pour la première fois. Ses dernières forces épuisées, Medar se traîna jusqu’à quelque chose de confortable.

C’était la paillasse de l’homme, bien qu’il ne comprenne même pas se concept... Puis il s’endormit. Quand il se réveilla, l’homme lui donna à manger, puis entreprit de l’éduquer. Il commença par apprendre à le désigner. Il se nommait Marwin. Puis il trouva un nom pour notre jeune héros. Celui-ci mit longtemps à l’accepter, ce nom... C’était un mot étrange... « Medar » Après quoi il fallut apprendre à parler, à communiquer, à moduler des mots, et surtout à penser ces mots. Ce fut long, très long, et très dur aussi... Sans compter le fait de marcher debout. Peu à peu, il grandissait, il reprenait des forces, il se faisait du muscle. L’homme tailla ses cheveux, et lui donna des habits corrects... S’habiller et se laver, ça aussi ce fut long. Cela dura plusieurs années. Peut être trois, à peu près, jusqu’à ce qu’il finisse par être « civiliser », plus ou moins en tout cas.

L’enfant, presque adolescent, restait très méfiant envers son bienfaiteur, qui ne désespérait pas de le faire changer sur se point là aussi. Pour marquer cela, il se choisit un autre nom, dans le secret de son esprit « X’aelis ». Mais il ne pu jamais vraiment se défaire de l’autre, et adopta celui là comme nom de famille. Affin de l’aider à décharger son énergie nerveuse, à canaliser la cruauté qu’il sentait en lui, il se mit à lui apprendre l’art de manier l’épée, d’abord avec brutalité, puis avec plus de subtilité. Il apprenait vite, presque comme si il eu déjà su quelque chose par le passé. Son esprit avait oublier, mais son corps pas totalement. Il ne lui fallut que quelques mois pour égaler, puit dépasser son professeur. Ce dernier, continuant sur sa lancée, lui enseigna les arts de combat qu’il connaissait, au corps à corps ou à mains nu, et l’adolescent les assimila tout aussi facilement, si ce n’est plus.

Cela dura encore... Disons... Un peu plus d’un an, environs. Puis, finalement, ils se disputèrent, pour un motif futile. Medar dû s’écraser devant son aîné, mais il n’oublia pas. Dans son sommeil, il se releva, il saisi Oropt, l’une des armes de son maître, et lui trancha brutalement la tête. Sans pitié, sans regret. Il enfila sa tenue de combat, prit les épées de Marwin, y comprit celle avec la quelle il l’avait tué, et parti. Seul. En direction du Désert, par ce qu’il ne voulait plus jamais avoir froid. Erra il encore longtemps ? Difficile à dire... Des mois, des années ? Toujours est il qu’il fini par arriver dans un village caché... Suna. Et là, il trouva enfin une « place », si on peut dire. Puisqu’il savait se battre comme un ninja, il devint ninja ... N’était-ce pas logique ? Et il a même réussi à assimiler le travail d’équipe... Enfin, un peu. Cela fait aussi partie de l’Esprit de la Meute, en définitive...

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Message par Invité Sam 14 Mar - 14:11

Bienvenue à toi Smile

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Message par Invité Sam 14 Mar - 15:26

Très belle présentation. Si tu continue comme ca, tu finira Jounin de Suna.

Bonne chance et j'espère te voir très bientôt dans les rangs de Suna.

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Message par Invité Sam 14 Mar - 15:41

Bienvenu

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Message par Invité Sam 14 Mar - 15:42

Oh la liste de mes ennemis augmente encore ^^

Bienvenu

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Message par Invité Sam 14 Mar - 16:35

Bienvenue et bon RP!

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Message par Invité Sam 14 Mar - 16:38

merci à tous ^^

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Message par Invité Mer 18 Mar - 21:47

Les descriptions sont bien, l'histoire aussi.
Apres mures reflexion, valider en tant que Jounin de Suna
Fais ta fiche et tu pourras commencer a rp Smile

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